Du 01 novembre 2023 au 30 novembre 2023

Musée Crozatier ( Le Puy-en-Velay )

De 00:00 à 00:00

Dans le cadre de l’exposition La confusion des horizons – Le paysage dans les collections du FRAC
Auvergne & du musée Crozatier, le musée propose un cycle de conférences qui permettra d’explorer
et prolonger les aspects contemporains des paysages photographiques.
RDV au musée Crozatier / durée 1h30
Inscription obligatoire à l’accueil du musée ou sur la billetterie en ligne du muséeA Savoir !
 7€ la conférence / 21€ les 4 conférences
(pack 4 conférences en vente seulement au guichet du musée)
PAYSAGE, FRONTIÈRE & APPARTENANCE

Jeudi 9 novembre à 18h30
Par Anne-Marie Filaire, artiste, photographe et enseignante à Sciences Po Paris

Anne-Marie Filaire témoignera de son travail photographique à partir de la Mission de l’Observatoire
photographique du paysage en Haute-Loire dont elle est originaire, les paysages du Moyen-Orient
dont témoigne son parcours, et ses travaux récents sur les terres excavées du Grand Paris.

RUINES CONTEMPORAINES – PAYSAGES D’UN FUTUR COMPROMIS
Jeudi 16 novembre à 18h30
Par Jonathan Tichit, docteur au laboratoire ECCLA à l'Université Jean Monnet à Saint-Etienne

Les différents travaux photographiques étudiés permettent, chacun à leur manière, d’interroger le futur
que la crise écologique semble compromettre, et posent tout particulièrement la question de notre
rapport au temps.

LE PAYSAGE & LES COLLECTIONS PHOTOGRAPHIQUES DU FRAC AUVERGNE
Jeudi 23 novembre à 18h30
Par Laure Forlay, responsable du service des publics au FRAC Auvergne et commissaire de
La confusion des horizons.

De l’horizon des pierres à l’horizon des particules, cette exposition propose les regards
photographiques de vingt-six artistes majeurs du FRAC (Fonds régional d’art contemporain
Auvergne).

LE PAYSAGE VIVANT ALTILIGÉRIEN, PASSE SIMPLE OU FUTUR CONDITIONNEL ?
Jeudi 30 novembre à 18h30
Par Éric Andron, directeur et architecte conseil du CAUE 43

Les paysages de Haute-Loire évoquent généralement des images de nature idyllique mais la carte
postale héritée du XIX° évolue en permanence :  campagnes standardisées, urbanisme(s) souvent
sans soin, équipements invasifs … Les paysages ordinaires ont-ils perdu de leur intérêt et auraient-ils
perdu ce qu’ils avaient à offrir au temps d’avant les énergies fossiles ?

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